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Eloïse Léger

Corps et Machine

Après des recherches sur une partie du corps et sur la vision de la machine, des retranscriptions graphiques ont permis de rassembler l’ensemble des idées pour réaliser un volume. Ce dernier devait permettre d’approfondir la démarche, le positionnement et les questionnements sur deux mécanismes différents: un naturel: le corps et l’autre industriel: la machine.
Ainsi je me suis intéressée au XIXe siècle, car c’est l’une des principales périodes où l’homme a été confronté à la machine pour l’une des premières fois dans son travail. L’homme n’avait pas encore l’habitude de travailler au côté d’une machine que déjà celle-ci lui imposait un rythme de travail, une cadence encore jamais demandée par un instrument.
Le but était de montrer le mouvement, la vitesse, des engrenages et la répercussion sur l’homme. Car la fréquence de la machine oblige un geste répétitif. L’ouvrier avec le temps se laisse entraîner par la cadence de la machine, il ne maîtrise plus son geste, ce dernier devient un automatisme.

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